Lettre à Stéphane de Groodt (35)

Stéphane, mon maître, mon gourou, mon Groodt

 

La mélancolie de la nuit me remplit de souvenirs : la nuit est chaude, elle est sauvage de Dior, dedans aussi. My head is a jungle. Je me brûle les ailes comme I car I a perdu ses L. Une idylle sans elle, ce n’est plus une idylle, tout est dit. Je sens que je vous ai encore perdu mais je ne vais pas tarder à vous retrouver…

 

Je sais où chercher partout mais surtout dans une salle sombre, obscure, où l’on ne sort qu’après un certain temps. En prison ? Dans une escape room ? Non, chez le mec-à-Rama, celui qui a de multiples-ex. Ça vous va bien puisque vous y jouez un jeu pervers... Non mais il faut vraiment être maso ou suicidaire pour avoir des idées pareilles ! Même les copines de John, les nonnes, pourraient avoir des secrets story. Pourquoi les curés ont-ils inventé la confession ? Pour entendre les fantasmes de leurs sœurs et pouvoir les réaliser avec leurs fils… Oups, non pour faire entendre des paroles de partage, de don de soi. Finalement, on en revient au même…

 

Laissons la re-légion pervertie pour lorgner côté politique. Pas si polie mais tout aussi pervertie… Langue de bois, langue de vipère, langue de dja-dja, il y Aya pour tous les goûts douteux. Parce qu’en terme de regroupement de racailles, l’AN est devenue plus dangereuse qu’une cité pas encore tout à fait perdue, les enfants. Le Capitaine vit au crochet de Marianne. Il entend des clochettes, disperse de la poudre de Perlimpinpin, fait des tours de passe-passe avec l’aide de ses pirates d’eau douce, plutôt détrousseurs de grands demains. But where is Peter ? Pan ! Un chasseur l’a tué ce matin. Il ne nous reste qu’un lapin de terre pour nous sauver, mais pendant combien de temps, combien de temps Stéphane, pourrons-nous déjeuner sur l’herbe ? Au final on arrivera peut-être à déjeuner de l’herbe. Quitte à être des vaches à lait, autant s’y mettre de suite ! Le 17 novembre, à vos terreaux citoyens ! Formez de beaux gazons. Bêchons, bêchons, qu’une herbe pure affame MacRon-d’up.

 

Voilà ce sera mon message d’avenir après…

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