Lettre à Stéphane de Groodt (34)
05 juin 2018Stéphane, mon maître, mon gourou, mon Groodt
Je s’appelle pas Groot, ni Groodt d’ailleurs, et je me moque de savoir si vous utilisez la langue de bois quand vous parlez à ceux qui ont une gueule de bois, histoire d’être sur la même longueur de planches…
Il y a bien longtemps, dans un lointain pays nommé l’Absurdie, que je ne vous avais écrit tôt publicitaire. Non je ne ferais pas de placement de produit, ni bancaire, mais plutôt bancale. Quand on songe aux nuits d’été, j’expire profondément. Cela fait si longtemps, longtemps, longtemps, longtemps, longtemps… (le temps devient long là, non ?!). Mais le temps est une notion durable, étendue, infinie, renouvelable. Oulà Hulot, j’ai l’impression de parler déco-logis. D’ailleurs quelle est la tendance en ce moment ? On serait plutôt sur un mix orange /noir : un mélange d’un ami qui vous veut du bien et de Renault (allez-y, faites tourner les moulins à vapeur !). J’ai hâte de voir le résultat…
En parlant de résultats, il y a la Coupe du Monde qui approche et sans être ou ne pas être fan de pied-balle, c’est l’évènement dont on ne va pas pouvoir dire que l’on n’est pas chez Engie. Oh my god-Michel Platini (je n’ose pas imaginer !), ce n’est pas le moment d’avoir une panne de réseaux. Ceux dont je parle ne sont pas sociaux mais soucieux de bien relayer cette information et uniquement cette information. Attention, pendant la durée du mondial, il ne se passera rien d’autre dans le monde, qu’on se le dise !!!
Sur cette profonde analyse politico-écono-pointronenfo, je rends l'antenne et le clavier à Christian ou Jeanpierre, et ce sera mon dernier mot !